Lançons la discussion!
Prenez le pouls des réactions de la population et faites-nous part de la vôtre.
Joignez-vous à la conversation! Réagissez ici au mot du président publié chaque mois dans l’infolettre grand public InfoCMQ, mais aussi aux prises de position et de parole du Collège des médecins du Québec sur différents sujets d’actualité en santé. Nous consignons dans cette page Web les commentaires de la population reçus sur une base mensuelle. Ces derniers font l'objet d'une révision linguistique sommaire sans que l'essence des propos qu’ils contiennent soit dénaturée.
Des lettres et des maux
Depuis les dernières semaines, on parle beaucoup de santé, mais trop peu des patients… Or, dans le cadre du projet de loi no 106, tout le monde doit travailler ensemble pour le bien commun et replacer le patient au cœur du réseau de la santé. La population doit avoir confiance en la communauté médicale.
Vous voulez nous soumettre un message? Écrivez à communications@cmq.org.
Vos réactions
Prenez note que certains messages sont écourtés pour laisser la place à l'expression de plusieurs points de vue.
J'aimerais vous suggérer de consulter les médecins de première ligne, par sondage par exemple, sur ce qu'ils/elles font mais ne devrait pas faire et qui impacte leur performance et l'accès en cas de vrais besoins (et qui de surcroît les font sentir comme des signatures ambulantes ou des agents administratifs). Voici un aperçu de ce que vous pourriez recevoir comme réponses, et sur lesquelles il pourrait être constructif de se pencher pour trouver des solutions:
- Ma compagnie d'assurance me demande un papier pour la masso, la physio et les semelles. Ils veulent des papiers différents.
- La radiologie me demande deux requêtes différentes pour mon genou. Une pour l'écho et l'autre pour la radio. Deux feuilles svp sinon ils ne veulent pas.
- Bonjour Dre, pouvez-vous me remplir le même formulaire que l'autre fois mais cette fois ci c'est pour le provincial.
- Bonjour Dre mon chiro me demande de venir voir où en est ma demande en ortho car il dit que c'est trop long.
- Vous jugez que j'ai besoin de ceci mais je reviens car vous devez le prouver avec un code.
- Je viens pour que mon tylenol soit prescrit pour que la CNESST le paye.
- La CNESST veux pas la copie de la requête que vous avec faite au CRDS ils veulent une requête à xxx à Laval.
- Je viens pour me faire prescrire de l’Advil vu que je ne payerais pas les taxes.
- J'ai pris votre requête Dre et je l'ai apporté à l'hôpital. Mais ils font pas le Doppler donc ils me disent que vous vous êtes trompé...et non personne ne m'a redirigé ailleurs donc je reviens vous voir.
- […]
C'est mon quotidien tout ça. Et j'en passe vous vous en doutez. Et je ne blâme pas les patients qui font ces demandes de toutes sortes, eux-mêmes sont mal à l'aise et le plus souvent embarrassés d'avoir à se déplacer pour toutes ces demandes... évitables. Le dossier des varias en omnipratique, il faut l'ouvrir.
Caroline Francoeur
J’aimerais vous faire part de ma perplexité face à vos prises de position faces aux décisions politiques du gouvernement provincial. Premièrement pour vous mettre en contexte, je tiens à préciser que je suis pas du tout d’allégeance caquiste. Ceci étant dit, je trouve tout à fait déplacé que vous commentiez le débat politique. Votre rôle n’est-il pas la protection du public comme tous les ordres professionnels? Ce qu’on constate présentement est que vous agissez comme un syndicat de M.D. Je pensais que la FMOQ jouait ce rôle ainsi que le syndicat représentant les M.D. spécialistes. Et n’utilisez surtout pas le prétexte que les soins aux patients vont en souffrir car c’est carrément odieux! Pendant que vous vous mêlez du débat politique, vous n’aidez pas le public ni les M.D. car la population comprend encore une fois que l’argent passe encore une fois avant l’intérêt des patients.
Qui dans la société gagne 400 000 $ par année, et n’a aucune compétition? Le M.D. sont des privilégiés dans notre société et malgré que l’ensemble des contribuables payent leur salaire, beaucoup n’ont même pas accès à leurs services. Il est plus que temps que le gouvernement fasse le ménage dans tout ceci. Il n’est pas normal que le public paye une fortune pour ses médecins et que ceux-ci se considèrent comme des travailleurs indépendants… dans mon esprit et dans celui de beaucoup de citoyens, quand un gouvernement paye la totalité de la rémunération d’un travailleur, ce travailleur est redevable à celui qui paye. La grogne dans la population est en augmentation et votre attitude dans ce dossier est totalement déplacée. Vous considérez vous au-dessus de tous les autres ordres professionnels en vous immisçant dans le débat politique et pécunier? Votre rôle est la protection du public et non la protection des M.D.
Il semble avoir assez d’argent pour se payer des syndicats qui agissent comme des lobbyistes contrairement à tous les autres ordres professionnels. Je serais curieux de savoir comment l’office des professions traiterait une plainte contre le Collège des M.D. concernant tout ceci.
Bref, pouvez-vous vous en tenir à la protection du public et cesser d’agir en lobbyistes ? Vous savez , les citoyens ne sont pas aveugles et sont surtout beaucoup plus informés qu’avant. Il vous faudrait cesser de les considérer comme des gens sans pensée critique à qui vous pouvez tout faire gober. Cette période est révolue.
Yves Lanteigne
Je doute énormément que le Collège des médecins et la FMOQ travaillent dans l'intérêt des patients orphelins. C'est uniquement de la politique et des bataille d'égo. Je vais mourir et je n'aurais jamais de médecin de famille.
Rejean Houde
Je ne sais pas si je me fais une idée, mais je trouve que mon suivi médical est passé en second après que j’ai eu 70 ans.
Ronney Mackie
Depuis plus de cinq ans, mon épouse cherche un M.D. sans succès. Elle a plusieurs maladies chroniques (> 6). Si le mandat du CMQ est de protéger le public, il devrait favoriser le changement tel que proposé par le MSSS. Les fédérations sont là pour défendre les intérêts des M.D. et non le CMQ.
Roger Roberge
Présentement avec les médecins qui sont en négociation, c’est encore pire d'avoir un rendez-vous. J'ai essayé 3 jours et j'ai laissé tomber. Si tu appelles dans l'après-midi, la personne au rendez-vous te dis qu’ils ne prennent plus de rendez-vous.[…] essaye-vous le matin. J'ai essayé 2 fois et la première fois avec attente de près d’une heure. J’ai laissé tomber la 3e fois j'avais encore téléphoné trop tard; pourtant il était 9 hres du matin. Quand tu arrives à avoir un RDV, la personne à l'autre bout elle nous avise que le médecin n'a pas plus de 5 minutes à te consacrer.
Yolande Bottine
Étant donné que vous nous donnez la parole, j'aimerais donner mon opinion franche. Quand j'étais petite, on avait un médecin pour une paroisse, il était toujours disponible et voyait à chacun et chacune des paroissiennes.
Il y a 20 ou 25 ans : si nous étions malades la fin de semaine, on appelait à l'urgence et on allait attendre là des 20 heures, malades, fatigués et écœurés. Depuis 2 ou 3 ans, on a un médecin le samedi AM et le dimanche AM, selon ce que j'ai pu savoir.
Cette façon de faire rend les personnes âgées très anxieuses, car on sait que si on est malades, ce n'est pas certain qu'on ait accès à un médecin et parfois, plusieurs meurent avant d'en avoir vu un. C'est certain qu'il y aura toujours un médecin à l'hôpital mais ce n'est pas suffisant. Étant donné qu'on ne peut avoir un rendez-vous facilement avec un médecin la semaine, plusieurs se ramassent à l'urgence. C'était mon opinion!
P.S.: j'espère que le gouvernement va obtenir du personnel médical la semaine et toutes les fins de semaine. Mon époux à travailler à la Firestone, ce n'était pas pour des personnes, c'était des pneus et il rentrait sur trois chiffres. Là, ce qu'on subit c'est inhumain!
Pourquoi on aurait un gouvernement, on paierait des impôts pour notre santé et autres et que le gouvernement n'aurait pas le bon bout du bâton?
Merci!
Marielle Laporte
[…] Avec le projet de loi 106, nous voilà arrivés à un point culminant. […] Avec ce projet de loi, il est très clair, que bien des patients(es) vont perdre leur médecin, même si le ministre de la Santé essaie de nous faire croire le contraire. N’oublions pas que plusieurs médecins, qui auraient présentement le privilège de prendre leur retraite, préfèrent continuer de pratiquer, puisqu’ils sont conscients du manque de médecins au Québec. Ils ont vraiment le cœur à l’ouvrage et adorent leur travail. Avec cette loi, le mieux pour eux, plutôt que de s’obstiner avec un gouvernement qui ne veut rien comprendre, préfèreront la retraite et avec raison.
Allons-nous accepter, que les médecins qui ont diminué leurs heures de pratique, soient maintenant pénalisés? C’est inacceptable. […] Il est assez clair, que les médecins qui ont diminué leurs heures de travail, sont, soit à l’âge de la retraite ou soit, que leur santé leur permette uniquement un nombre restreint de ces heures. […]
Micheline Senécal
P.S. En plus, le projet de loi 106, invite les médecins à recevoir leurs patients(es) en dedans de dix minutes. Oui vous avez bien lu, dix minutes! Sommes-nous rendus dans une province sous-développée?
Force de constater que le Québec a le plus de médecins par personne et que malgré tout, la population souffre le plus de manque d’accessibilité. Est-ce que là n’est pas pire depuis que les hommes ont déserté la profession et que ce sont maintenant des femmes et que celles-ci préfèrent une vie plus douce? Moins d’heures travaillées et plus de vie privée et pendant ce temps nous devons payer plus et avoir moins? La solution n’est pas facile.
Claire Ménard
Qu'attendez-vous pour engager les médecins étrangers qui sont nombreux et qui doivent se retrouver comme agents de sécurité? Ils valent bien un étudiant, résidant, et il n'y aurait qu'à les superviser. […]
J'ai 75 ans, avec un médecin semi-retraité disponible quand je ne suis pas malade, d'où la confusion quand je me présente dans une clinique selon les recommandations du 811. Je me suis faite rabrouée à quelques reprises et je suis sortie de ces rencontres humiliée.
Chantal Roussety
Je suis à Alma au Lac-St-Jean et j’ai un excellent médecin. Il ne prend pas juste 15 minutes pour me demander tous mes problèmes et il prend le temps de tout régler. Il est gentil et très respectueux. J’ai eu beaucoup de médecins de famille parce que je suis malade. Ils prenaient leur retraite ou ils déménageaient. J’ai vu beaucoup de spécialistes qui eux ne sont pas respectueux et n’ont aucun respect pour les patients. Ils gagnent tellement d’argent qu’ils se foutent de nous, ils n’écoutent pas la plupart du temps. Ce n’est pas tous les gens qui sont chanceux d’avoir un bon médecin de famille. […]
Isabelle Tremblay
J'ai été obligé de ne tourner vers une clinique privée, je trouve les prix exorbitants, mais je n'ai pas le choix. Je vais avoir 80 ans et j’ai divers problèmes de santé. Si j'essaye de voir un médecin du GAP, je ne peux discuter que d'un seul sujet, et encore. Je me suis fait rabrouer par un médecin car je suis allé 2 fois en 2 mois, donc vous pensez bien que je suis réticent à y retourner. Le médecin en clinique privée, a découvert parmi des résultats que je faisais de l'anémie, on ne m’en a pas parler avant, il me fait passer divers examens et prises de sang. Je me sens écouté. Je trouve vraiment scandaleux que l'on ne puisse pas avoir un médecin de famille... et j'espère que le Collège des médecins va refuser la demande du gouvernement de faire de la médecine rapide.
Nicole Boutboul
[…] Est-ce que c’est normal que pour remplir ma formule pour mes licences, mon médecin punche la carte : plus cent dollars en argent. Ça prend moins que cinq minute, sa secrétaire m’as dit qu'il peut charger jusqu'à cent cinquante dollars. Est-ce que c’est exagéré? Avant le médecin de ma femme ne chargeais vingt dollar cash.
Normand Brassard
Je trouve que du côté des médecins, ça va bien. J’ai été 2 ans sans médecin, mais là, j’ai la crème de la crème : un super infirmier. Je vois qui aime son travail, prend beaucoup de temps avec ses patient. C’est ça, aimer son travail sans chercher le salaire.
Marcelle Gauthier
Que proposez-vs pour la rémunération des médecins? Je ne vois pas de changements dans votre mémoire. Il faudrait que les médecins retournent en CLSC. Aujourd'hui ce ne sont que des bureaux.
Danyelle Giroux
Je ne peux pas croire ce que j’entends des médecins. Vous êtes des gens privilégiés et vous avez une rémunération excessive que le Québec ne peut guère se payer. Vous êtes des fonctionnaires les plus payés. Que faites-vous pour améliorer le système de santé québécois? Rien. Vous jouez à la chasse gardée, vous vous pétez les bretelles, vous bénéficiez d’un régime fiscal corporatiste plus qu’avantageux, vous dites avoir beaucoup de temps consacré à l’administratif, alors engagez-vous un employé pour faire ce travail comme d’autres professionnels font et vous n’aurez plus qu’à faire la supervision. Je n’ai guère d’estime ni de sympathie pour des têtes enflées avec des égos surdimensionnés Si vous n’êtes pas capables d’agir pour le bien commun faites autre chose ou aller travailler hors Québec! Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Normand Martel
Commencez par examiner les plaintes qu'on loge à l'égard de vos membres au lieu de les faire rejeter d'emblée par vos septentrionales requêtes en rejet qui ne servent qu'à contourner votre mission de protection du public.
Daniel Bédard
Je suis à l’hôpital depuis une semaine [et j’ai] changé de chambres d'étages plusieurs fois. Ce qui m’a le plus interpellé, c’est la malpropreté partout. Les planchers des passages, de certaines salles d’examens, mais surtout et non pas les moindres, les planchers de chambres, c’est une véritable horreur, les planchers sont très rarement lavés à fond, C’est crasseux.
Mais il y a pire, les salles de bains les douches comprises, c’est malheureux à dire mais ça te prend un habit de plongeur pour aller prendre ta douche. […] Ne pas oublier que l’on est à l’hôpital où la moindre bactérie peut causer un dommage important. […]
Je considère très important de revoir toutes les procédures de nettoyage, les équipements et l’ajout de personnel entrainé. C’est le départ de la désinfection adéquate dans un hôpital. C’est plus propre dans l’établissement d’un vétérinaire. […]
Paul Morin
Depuis que l’assurance-maladie est en place au Québec, la tradition veut que les fédérations et les gouvernements négocient ensemble comment on va distribuer les enveloppes fermées de rémunération des corps médicaux. Cette négociation a toujours eu pour but d’améliorer les services à la population. Exemple, on manque de médecins pratiquant l’obstétrique, on ajuste les tarifs à la hausse, on veut augmenter la prise en charge, on ajoute cet élément de capitation, des chirurgiens se présentent en retard au bloc opératoire, on bonifie l’arrivée à l’heure plutôt qu’augmenter les tarifs. On est toujours soucieux de corriger les manquements et on le négocie dans un esprit de collaboration.
Or, la négociation actuelle a débuté par une déclaration de guerre […]. Plutôt que la négociation traditionnelle faite en franche collaboration, il impose un affrontement à visé électoraliste (comme un troisième lien quoi). Croire pouvoir compenser un manque historique de 2 000 médecins, secondaire à des décisions gouvernementales ainsi c’est une utopie.
En terminant, je me permets de souligner un élément dont on ne parle pas mais qui empire la situation. La classe de médecine 1974-79 à l’Université de Montréal comportait 212 étudiants. À l’époque, ce fut la plus grosse cohorte. Par la suite, par décret ministériel, on a réduit les volumes et 1988-93 était à 150 puis 1998-03 à 120, soit la plus petite cohorte. Depuis les inscriptions sont à la hausse. Faites le calcul, donc beaucoup de jeunes médecins avec moins d’expérience et peu d’aguerris qui ont développé au fil des ans une productivité augmentée. Ça n’aide pas.
Michel Breton
Vos réactions sur le projet de loi no 106
Je vous écris à titre de citoyenne préoccupée par les conséquences du projet de loi 106 sur la pratique médicale et sur l’équité d’accès aux soins pour les patient·e·s les plus vulnérables.
Cette réforme prévoit une transformation organisationnelle majeure de la première ligne : recours à des équipes tournantes, tri algorithmique, consultations standardisées, et rémunération collective fondée sur la performance.
Ces orientations risquent d’induire, en pratique, une dynamique de sélection implicite des patient·e·s. Ceux et celles dont la condition exige du temps, de la continuité et une approche clinique approfondie — comme les personnes âgées vivant seules, les patients atteints de comorbidités complexes, ou en errance diagnostique — deviennent, dans un tel système, des cas « non compatibles » avec les cibles de performance.
Cela soulève non seulement des enjeux d’équité, mais aussi une remise en question du rôle du médecin dans la relation thérapeutique. Comment exercer pleinement un jugement clinique individualisé dans un cadre où la pression à la performance collective favorise les cas simples et rapides? Et comment protéger la place du patient complexe, invisible dans les indicateurs, mais bien réel dans les cliniques?
Je vous transmets ces préoccupations avec respect, dans l’espoir qu’elles puissent nourrir la réflexion du Collège quant à son rôle dans l’évaluation des effets cliniques, éthiques et humains de cette réforme.
Vous êtes, par votre mission, les gardiens de l’intégrité médicale. Je vous remercie de continuer à défendre une médecine fondée sur la conscience, la compétence… et la vérité du soin.
- Diane Johnson
Je suis ex-superviseur dans le réseau de la santé au niveau de la profession de travailleur social dans le réseau CISSS. Je suis sidéré par la manière dont le gouvernement traite les médecins du Québec, mais aussi par la manière dont il traite ses propres employés dans les réseaux CISSS et CIUSSS.
Le gouvernement traite ses médecins comme s'ils étaient des paresseux, des moins que rien et des incompétents, comme je l'ai vécu dans le réseau CISSS. […] J'ai compris pourquoi on manque tant d'employés dans le réseau de la santé. Aucun respect pour les employés et le respect commence par savoir dire MERCI.
Les médecins qui choisissent de travailler à temps partiel ont bien des raisons de le faire et je les comprends; qu'ils soient hommes ou femmes. Après tout, la dépression frappe aussi les médecins. Le ministre veut se servir des médecins pour atteindre ses objectifs politiques point. Il n'est aucunement préoccupé par la santé et le bien-être de sa population. Il donne facilement de l'argent aux compagnies, qui finissent par déclarer faillite, mais quand il s'agit d'investir dans les infrastructures de la santé, il n'a pas d'argent et retarde les projets, au détriment de sa population et de son personnel. Les administrateurs du réseau sont obsédés par la performance du réseau et sont prêts à tout pour y arriver.[…] Les employeurs ne connaissent plus leurs propres employés et utilisent constamment les menaces verbales et écrites pour éviter qu'on parle trop. […]
- Mario Blais